D’abord un petit message d’Anne-Marie

« Merci à toutes et à tous les présents du 5 Juillet au centre Yvonne Martinot qui nous a si gentiment reçus et à tous ceux qui ont fait de cette journée un moment si convivial.
Un merci particulier à Sadya pour son organisation bien agréable (café, apéro et covoiturage) , sans oublier notre chauffeur bénévole, Mathias , qui a bravé la chaleur pour nous transporter  si gentiment.
Un grand merci à toutes les amies du groupe pour leurs interventions et leur choix d’albums.
Je vous souhaite un bel été et à la rentrée !!!
Anne-Marie

La parole à Sylvette…

Et en cette année 2018-19, la réunion a eu lieu à Mesnil St Père,  à la campagne
La nuit a bien rafraîchi l’atmosphère. Et ce matin le soleil brille dans un beau ciel bleu.
Une trentaine de « gamines et quelques gamins », prennent allègrement un car de la Ligue de l’Enseignement, pour leur centre de classes vertes au bord du lac de la Forêt d’Orient. On y espère un peu de fraîcheur.
 Le voyage est joyeux et on ne voit pas le temps passer, à papoter pour échanger des expériences de lectures à école.
C’est un chêne avec ses mini-glands verts qui nous accueille, à l’ouverture des portes.   
Tout le monde descend  et prend son ravitaillement (après le bilan et l’apéritif, nous pique-niquerons à l’ombre, avec un soleil facétieux qui cherche à nous débusquer.)
Une grande salle nous reçoit. Elle offre ses supports en présentoirs de livres.

• Les «arbres» sont à l’honneur et forment toute une forêt de livres.
• la table « poésie » est bien fournie aussi.
• Les « émotions »  et le « vivre ensemble », ont pris position le long du mur, ainsi que les « jeux de lecture » produits par le Calije 
• En sentinelle , Lectures en Forêt fait la star, sur un chevalet, avec ses coups de cœur.

Merci à tous nos partenaires (médiathèques du réseau et Médiathèque Départementale de l’Aube).

-Catherine ouvre  la séance. Que d’émotions dans les classes !… dédramatisées par la lecture qui peut libérer les enfants d’un carcan caché . A vivre/lire ensemble, on se sent moins seul. Que d’expériences à se raconter ! Que de livres à découvrir sur le sujet !
(Merci à elle d’avoir présenté son livret de lectures avec image et résumé . Quelle bonne idée ! Je suis sûre que d’aucunes auraient aimé en profiter.)
-La Semaine du Développement Durable, organisée dans diverses écoles volontaires de l’agglomération troyenne, prendra voix en empruntant celle de Florence.
-Claude donnera de la voix aussi pour raconter l’épopée  de cette poursuite de l’opération « Printemps des contes » à l’école Cousteau, des Chartreux, où des parents ont bien voulu lire des contes dans la langue de leur pays : séance toute musicale faisant voyager à l’étranger. C’était la suite réussie de ces sacs à livres commencée l’année précédente, dans l’espoir de  faire entrer les parents volontairement dans l’école, pour partager et valoriser leur culture.
-Primesautières, Sonja et Roselyne, nous parlent de poésie, à nous donner envie de nous essayer à ce genre pas forcément académique, mais un rien angélique , nous laissant rêveur.se.s.
 
-La chef d’orchestre , Anne-Marie, essaye vaillamment  d’ordonner tout ce monde.


  Et c’est bientôt l’heure des projets,  presque des devoirs de vacances , avec des pages à remplir comme autant de carnets de voyages : Charmont sous Barbuise ! Festi’coccinelle ! Vendeuvre sur Barse ! Fête du château de Turgy ! Fête de Ste Savine !… Nous voici déjà presque rentré.e.s.
Juliette va rester parmi nous jusqu’en octobre. Le bilan de sa mission se fera à la fin de son séjour, la saison prochaine.
Sadya joue à saute bouchon pour nous servir des rafraîchissements bienvenus. Et l’apéritif nous ragaillardit, nous donne la force d’emporter une chaise pour nous installer à distance des fourmis gourmandes, et autres insectes envahissants.

 La mare voisine est sèche et les moustiques s’en sont allés, ailleurs, chercher des proies .
Le soleil tourne, et nous incite à retourner en salle pour jouer artistiquement avec mousses, lichens et autre végétation ramassée par une fée qui nous invite à laisser se manifester fantaisie et à raconter cette balade en Land’Art , étrange bande dessinée toute végétale. Et comme nous avons gardé notre âme d’enfants, ça fonctionne plutôt bien.



« Il n’est de meilleure compagnie qui se quitte. » Le car nous dépose au point de départ où nous nous éparpillons.
Bilan : la demi-douzaine masculine s’est bien adaptée à cet essaim féminin dominant.
Vivement l’année prochaine !
Vous trouverez très bientôt les comptes-rendus des différentes interventions.
A suivre…